(F) BELLISARIO, arrête de crier j'ai entendu j'ai juste pas envie de te répondre (réservée)

she's maniac.
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bérénice st pierre

△ SON PRÉNOM, bérénice △ SON NOM, st pierre △ SON AGE, vingt-trois ans △ INFORMATIONS DE NAISSANCE, née à saumur △ SON MÉTIER, étudiante en dernière année d'histoire pour être professeur d'histoire de la magie △ SON SANG, née moldue △ SON STATUT, célibataire △ SON AVATAR, troian belisario △ NÉGOCIABILITÉ, peut-être
âme, esprit, cœur
Bérénice est une fille très réservée mais qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Elle pourrait se mettre en face de n'importe quelle personne, cela ne lui ferait pas peur. Bien qu'elle soit sincère avec elle-même et que celle-ci déteste les mensonges, comme elle le dit si bien parfois ça peut être utile. Très jalouse et possessive la née moldu déteste à ce qu'on s'approche trop près de ses amis ou tout simplement que l'on porte quelque chose qu'elle souhait plus que tout au monde. Elle a eu une enfance assez banale et ses parents ont toujours été là pour la protéger, même quand elle voulait quitter Beauxbâtons à cause des mauvaises réflexions vis-à-vis de son sang.

ce n'est pas le bon mot au vu de la situation.

‘Bérénice !’ Il saisit son bras, certes un peu violement mais au fond de lui se dit que c’était pour la bonne cause, car autrement, il n’avait aucune chance que la jeune femme accepte de passer un peu de temps avec lui, ou du moins l’écouter. Elle se retourna, frustrée d’être prise au piège aussi facilement et fut plaquée contre un mur de l’école sans pouvoir rien faire contre cette brute qu’est Augustin. ‘Quoi qu’est-ce que tu me veux ? J’ai pourtant compris que nous deux c’était terminé, non ?’ Depuis que Bourgeois avait prit le partit de ses amis les sangs-purs et l’insulter de sang-de-bourbe leur amitié, même secrète, n’avait plus lieu d’être pour la jeune femme même s’il avait beau lui dire que c’était une couverture pour ne pas que les autres se doutent de quelque chose. Mais, à l’heure actuelle, elle c’était dite que, s’il tenait vraiment à elle il assumerait le fait d’être amie avec une moldue hors ce n’était pas le cas, il n’assumait rien. ‘Je voulais te dire au revoir.’ Elle échappa un rire léger, pas vraiment bruyant mais plutôt hautain ce qui insupportait Auguste. ‘Ah bah moi c’est déjà dis.’ Leur relation, même amicale était bien plus que ça aux yeux de l’un et de l’autre même s’ils refusaient de se l’avouer mutuellement. C’était en début de première année, la jeune femme lui avait fait un vilain tour, celui de lui faire croire qu’elle était une sang-pur et il y avait crue jusqu’à ce que, quelques années plus tard il se rende compte que finalement il n’était qu’une de ces moldus dont il devait normalement détester. Mais c’était déjà trop tard, il était tombé amoureux d’elle, un sentiment étrange qu’il ne comprenait lui-même pas. Les conséquences étaient bien vite tombées et même s’ils faisaient tout pour se voir, s’apprécier malgré tout, ils savaient que tout serait finit du jour au lendemain. Soit par le mauvais comportement de l’autre, soit par la fin de leurs études. Bérénice, âgée d’un an de plus qu’Augustin avait finit ses études et devait normalement partir d’ici quelques heures via une calèche en direction de Saumur, sa ville d’origine pour ensuite s’installer à Parcelse pour faire ses études d’histoire et retrouver l’enceinte de l’école une fois celles-ci terminées. ‘Je peux pas.’ Finit-il par dire en baissant la tête. ‘Tu peux pas quoi ?’ demanda-t-elle en saisissant le menton du jeune homme pour qu’il la regarde dans les yeux. ‘Vivre sans toi.’ Elle caressa la joue du blond et vit des larmes coulées sur le visage de l’homme. C’était bien rare de le voir pleurer, il ne l’avait d’ailleurs jamais fait jusqu’à là. Même à sa naissance il n’avait pas pleuré comme ces milliers d’enfants qui naissent chaque année. Non. Et ses larmes de crocodiles eurent le don de déclencher le même état pour Bérénice. Et même là, leurs sanglots ne firent qu’un. ‘Essaye au moins de survivre.’ Dit-elle en essayant de le rassurer. De toute évidence, ils avaient beau essayer, Augustin était fiancé et tenait beaucoup trop à son statut de sang-pur et Bérénice ne souhaitait pas être seulement son amante. Avec elle, c’était tout ou rien. Et là, c’était rien. La rousse réussit tout de même à lui faire décrocher un sourire même s’il était faible, il était bien présent. Et puis, il l’embrassa. Pour la première fois leurs lèvres se touchèrent et c’était une image si belle que si quelqu’un passait par là il pleurerait. ‘J’ai envie de toi.’ Avoua-t-il alors qu’habituellement il ne demandait même pas l’avis de la fille pour passer à l’acte, elle ne faisait qu’obéir. Avec elle, il savait que c’était différent, de a à z et c’était sûrement pour cette raison qu’il était, malgré lui, fou d’elle.

⊿ lettres : 8 ⊿ inscription : 07/01/2012

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MIII AMMOOOOR
Si tu as la moindre question je suis là (aaaa) GOSH JE SUIS TROP HEUREUSE LAA

⊿ lettres : 8 ⊿ inscription : 07/01/2012

Haaan meerci, en plus ton gif est trop magnifique
Bien sûr, je te le réserve pour une semaine